*Kaolack/CNTS : Sérigne Abdou Khadre Diop , le digne remplaçant de feu Abdou Ndiaye , la jeunesse au service du syndicalisme municipal* Son combat : Assurer le leg de don défunt patron feu Abdou Ndiaye

Kaolack /Syndicalisme.

Serigne Abdou Khadre Diop : Le nouveau souffle du syndicalisme municipal à Kaolack

Jeune, engagé et déterminé, il défend les intérêts des travailleurs municipaux tout en modernisant la CNTS locale.

Depuis son installation comme Secrétaire Général de la section régionale CNTS à Kaolack, Serigne Abdou Khadre Diop a multiplié les initiatives pour renforcer l’action syndicale et rapprocher les travailleurs municipaux de leurs dirigeants. Issu du mouvement associatif à l’ASC Kheweulgui, et collaborant avec Madame Gandiry Lo, il a entamé une série de rencontres avec ses camarades, séminaires et formations pour mieux comprendre les besoins des agents et les outiller dans leurs missions.

Jeune et plein de caractère, Abdou Khadre Diop se distingue par son calme, son ouverture et sa capacité à écouter ses camarades. Il privilégie également la participation des femmes dans le combat syndical, convaincu que leur engagement est essentiel pour un syndicat dynamique et inclusif.

Ambitions et objectifs de lutte syndicale

Ses ambitions sont claires : lutter contre les licenciements abusifs et arbitraires, réviser le statut des travailleurs municipaux pour mieux protéger leurs droits, améliorer les conditions de travail et promouvoir la formation continue des agents. Il œuvre pour créer un terrain d’entente solide entre les travailleurs municipaux et la municipalité, fondé sur la transparence, la solidarité et le dialogue constructif.

En témoignage de son engagement, Serigne Abdou Khadre Diop a déposé, le 1er Mai dernier, les doléances des travailleurs municipaux auprès du Gouvernement, dans l’intérêt de tous les agents de la mairie de Kaolack. Son action illustre une vision moderne du syndicalisme : un syndicat dynamique, inclusif et capable de défendre efficacement les droits et intérêts des travailleurs.

Par Mamadou Camara, journaliste – Camou Communication