*Kaolack : l’ Association « Sara Ma Source de Vie  » sort l’ école Abou Tokoma Sy de ses difficultés* Une organisation ay service de la communauté

Kaolack : Solidarité pour l’école Abou Tokoma Sy de Sara Ndiougary face à un état préoccupant des infrastructures

 

L’Association “Sara Ma Source de Vie” apporte son soutien à l’école en offrant du matériel scolaire, tandis que l’urgence de réhabiliter les bâtiments se fait sentir.

 

L’école Abou Tokoma Sy de Sara Ndiougary, située à Kaolack, traverse une période difficile. Les infrastructures scolaires sont dans un état préoccupant : bâtiments fissurés, toitures endommagées et installations sanitaires insuffisantes, mettant en danger les conditions d’apprentissage des élèves et le travail des enseignants.

 

Face à cette situation, l’Association “Sara Ma Source de Vie”, qui regroupe tous les fils du quartier, toutes générations confondues, au Sénégal et dans la diaspora, a procédé à la remise officielle d’un don à l’école. La cérémonie a rassemblé enseignants, élèves, parents d’élèves et autorités locales, témoignant de l’importance de cette initiative citoyenne.

 

Le don comprend matériel scolaire, cahiers, kits pédagogiques, matériel géométrique, ordinateurs, photocopieuse moderne et équipements de nettoyage, visant à faciliter l’apprentissage, encourager l’excellence scolaire et améliorer l’environnement éducatif. Le directeur de l’école a exprimé sa reconnaissance au donateur, soulignant que ce geste contribue directement à soutenir les enseignants et à renforcer la qualité de l’enseignement.

 

Malgré ces efforts, l’Association et la communauté insistent sur le besoin urgent d’une réhabilitation structurelle de l’école. Une mobilisation collective des autorités locales, nationales et des citoyens est nécessaire pour garantir un environnement d’apprentissage sûr et propice à l’épanouissement de chaque élève.

 

La cérémonie s’est conclue par une visite des classes et des échanges entre élèves et donateurs, illustrant la solidarité et l’engagement des habitants pour l’éducation dans leur quartier.

 

Par Mamadou Camara, journaliste

Camou Communication

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